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Un jour, un Goncourt

 

Pourquoi cette rubrique : Un jour, Un Goncourt ?
En 1896, Edmond de Goncourt, vieil écrivain solitaire et désabusé meurt dans sa soixante-quinzième année. A l’ouverture de son testament, on y découvre une clause étonnante : la succession des Goncourt serait attribuée à la fondation d’une société littéraire « L’Académie Goncourt », de son vrai nom « Société littéraire des Goncourt », chargée de récompenser le meilleur livre supposé de l’année.
Edmond avait toujours été possédé par ce rêve orgueilleux : que le nom des Goncourt survive et ne tombe jamais dans l’oubli.
Après bien des démêlés d’ordre juridique, le 1er mars 1900,
la Chambre d’appel de la Seine confirme de façon définitive les termes du testament d’Edmond et sa validité. 
Mais après ?
Après la furia médiatique, que deviennent dans le temps le livre et son auteur ?
Dans les pas d’Edmond, Un Jour un Goncourt propose de ressortir de la poussière ce jour de gloire, à la fois par un article, le livre réédité et une présentation de son auteur avec en toile de fond les actualités littéraires de l’époque.
De faire en somme revivre, l’étincelle livresque d’une courte journée.

Patrick Ottaviani

 

L'Académie Goncourt vue par Bernard Buffet. Parmi eux : Armand SALACROU - Philippe HERRIAT - Marc ORLAN - Gerard BAUER - Francis CARCO et Roland DORGELES

Jury goncourt par bernard buffet 1955

Bernard Buffet 3ième à droite au restaurant Drouant croquant les académiciens pour le tableau que l’Académie Goncourt lui a commandé.